Carrefour 2017
Centre des congrès Shaw, Ottawa
Quel avenir souhaitons-nous pour le Canada d’ici 50 ans?
Les 6 et 7 février 2017, à Ottawa, de jeunes innovateurs, créateurs, entrepreneurs et dirigeants communautaires du milieu universitaire canadien se sont joints à des leaders d’opinion de l’ensemble du pays pour réfléchir à ce que le Canada peut devenir dans 50 ans. #Carrefour2017
Conférenciers principaux
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Son Excellence le très honorable David Johnston
Gouverneur général du Canada
Son Excellence le très honorable David Johnston
Gouverneur général du Canada
Allocution de clôture : Un appel à l’action pour le Canada
7 février 2017, 15 h – 16 h
Son Excellence le très honorable David Johnston, 28e gouverneur général du Canada, a consacré sa vie au service public. Fervent défenseur de l’égalité des chances et de l’excellence, il a passé la plus grande partie de sa carrière dans l’enseignement supérieur, d’abord comme professeur, puis comme administrateur de plusieurs grandes universités canadiennes. Il a notamment été principal et vice-chancelier de l’Université McGill pendant 15 ans (1979-1994) et président et vice-chancelier de l’Université de Waterloo (1999-2010).
Son Excellence a axé son mandat sur le renforcement des piliers de l’apprentissage et de l’innovation, de la philanthropie et du bénévolat, ainsi que des familles et des enfants. Depuis son installation en tant que gouverneur général en octobre 2010, M. Johnston a voyagé partout au Canada et à l’étranger afin de rassembler, de célébrer et d’inspirer les Canadiens et leurs partenaires mondiaux.
M. Johnston a écrit ou coécrit plus de 25 ouvrages, et a reçu des doctorats honorifiques de plus de 25 universités et établissements d’enseignement au Canada, en Chine et en Inde. En 1997, il a été promu Compagnon, le rang le plus élevé de l’Ordre du Canada.
Photo: Sgt Ronald Duchesne, Rideau Hall
© Sa Majesté la Reine du Chef du Canada représentée par le Bureau du secrétaire du gouverneur général, 2015
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Le très honorable Justin Trudeau
Premier ministre du Canada
Le très honorable Justin Trudeau
Premier ministre du Canada
Les 50 prochaines années
Période de questions en compagnie du Premier ministre
Notre jeunesse a le talent, l’énergie et les idées qu’il faut pour façonner le Canada novateur, prospère et inclusif de demain. Les jeunes délégués présents à Carrefour 2017 feront part de leurs questions et de leurs idées sur l’avenir du Canada.
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Dominic Barton
Associé directeur général mondial, McKinsey & Company
Dominic Barton
Associé directeur général mondial, McKinsey & Company
Président, Conseil consultatif en matière de croissance économique du gouvernement fédéralAllocution d’ouverture : Petit pays, grandes retombées
Comment assurer la prospérité future du Canada compte tenu des énormes bouleversements économiques et démographiques? Dominic Barton traitera des stratégies audacieuses que le Canada doit mettre en oeuvre pour soutenir l’innovation et devenir un modèle pour les autres pays en cette période de turbulence.
6 février 2017, 8 h 45 – 9 h 45
Au cours de ses 30 années au sein de la firme de consultation mondiale en gestion McKinsey & Company, Dominic Barton a conseillé des clients provenant de multiples secteurs, dont les secteurs bancaire, industriel, des biens de consommation et de la haute technologie. Actuellement, il occupe aussi la fonction de président du Conseil consultatif en matière de croissance économique du gouvernement fédéral.
En plus d’être membre de différents conseils d’entreprise et du conseil d’administration de plusieurs fondations, M. Barton est coprésident de l’initiative Focusing Capital on the Long Term, qui a pour but d’élaborer des structures, des mesures et des méthodes pratiques en matière de comportement à long terme dans les domaines de l’investissement et des affaires.
Coauteur de Dangerous Markets: Managing in Financial Crises (2002) et de China Vignettes: An Inside Look at China (2007), M. Barton a signé plus de 80 articles portant sur le rôle de l’entreprise dans la société, le leadership, les services financiers, l’Asie, l’histoire ainsi que les enjeux et les possibilités qui se présentent pour les marchés à l’échelle mondiale.
M. Barton a reçu de nombreux prix, notamment l’Ordre du mérite civil (médaille de la pivoine) de la Corée du Sud et l’étoile de la fonction publique de Singapour (amis distingués de Singapour).
Il est titulaire d’un baccalauréat en économie de la University of British Columbia et a été boursier Rhodes au Collège Brasenose, de l’Université d’Oxford, dont il est membre titulaire honoraire. M. Barton est aussi professeur auxiliaire à l’Université Tsinghua, à Beijing.
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Roberta Jamieson
Présidente et chef de la direction, Indspire
Roberta Jamieson
Présidente et chef de la direction, Indspire
Allocution d’ouverture : L’éducation et la réconciliation sont l’avenir du Canada
Dans la perspective de 2067, quelles sont les voies de la réconciliation? En quoi l’éducation outille-t-elle les jeunes Autochtones du Canada et les aide-t-elle à réaliser leur formidable potentiel?
6 février 2017, 12 h 30 – 14 h
Roberta Jamieson est une Mohawk des Six nations de la rivière Grand en Ontario, où elle vit toujours. En novembre 2004, elle a été nommée présidente et chef de la direction d’Indspire, le premier organisme de bienfaisance au Canada dirigé par des Autochtones à faire partie de la liste des 25 premières organisations caritatives du Financial Post. Sous la direction de Mme Jamieson, Indspire a accordé 3 792 bourses d’études et de soutien, totalisant plus de 12,2 millions de dollars, à des étudiants autochtones. Mme Jamieson est également chef de production d’Indspire Awards, une cérémonie diffusée à l’échelle du pays qui souligne les réussites autochtones.
Elle a élargi son programme de conférences d’Indspire sur les possibilités de carrière aux jeunes à toutes les régions du Canada et a lancé un programme de reconnaissance pour les enseignants d’élèves autochtones. Elle a également dirigé l’élaboration du K-12 Institute d’Indspire, un centre de ressources virtuel visant à augmenter le nombre d’élèves obtenant leur diplôme du secondaire et à favoriser la réussite en 12e année.
La carrière de Mme Jamieson est certainement celle d’une pionnière. Elle est la première Autochtone à terminer des études en droit, la première femme ombudsman de l’Ontario (1989-1999) et, en décembre 2001, la première femme élue chef du territoire des Six nations de la rivière Grand.
Elle a reçu de nombreux prix et 25 grades honorifiques. Nommée trois fois parmi les 100 femmes les plus influentes du réseau Women’s Executive Networks, elle est officière de l’Ordre du Canada.
Conférenciers
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Killulark (Laura) Arngna'naaq
Directrice des finances, Centre de recherche et d’apprentissage Dechinta
Killulark (Laura) Arngna'naaq
Directrice des finances, Centre de recherche et d’apprentissage Dechinta
Rétablir les relations : Faire progresser la réconciliation à l’université et au-delà
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Killulark (Laura) Arngna’naaq est directrice des finances du Centre de recherche et d’apprentissage Dechinta à Yellowknife. Mme Arngna’naaq est l’une des rares comptables agréées inuites au Canada. Elle est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires de la Trent University (promotion 2011) et fut la première étudiante autochtone à être admise dans le prestigieux programme de maîtrise en gestion et comptabilité professionnelle de la University of Toronto. Elle a obtenu la maîtrise en 2013 et les titres de compétences professionnelles en 2015. Au cours de ses études à la Trent University, Mme Arngna’naaq était l’ambassadrice des étudiants autochtones.
De 2000 à 2016, Mme Arngna’naaq a vécu dans le sud de l’Ontario où elle s’est appliquée à rester en contact avec ses racines inuites, en apprenant la sculpture sur stéatite et la langue inuktitute de manière autodidactique, et en assistant à un cours d’inuktitut à la University of Toronto. Elle a même réussi à construire un kayak pendant ses heures libres et a appris le jeu inuit traditionnel du chant guttural.
Elle fait du bénévolat pour des organismes au service des Autochtones et a décidé de relever le défi de sensibiliser ses collègues du secteur financier à l’héritage et à l’histoire inuits.
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derek beaulieu
Chargé de cours, département d’anglais, des langues et des cultures, Mount Royal University
derek beaulieu
Chargé de cours, département d’anglais, des langues et des cultures, Mount Royal University
Poésie éclair
Les 6 et 7 février 2017
derek beaulieu est un artiste textuel, un rédacteur conceptuel et un critique littéraire de renommée internationale qui enseigne à la faculté d’études anglaises de la Mount Royal University. Il est l’auteur ou le directeur de 15 ouvrages, dont les recueils de poésie with wax, fractal economies, chains, silence, ascender / descender, kern, frogments from the frag pool (coécrit avec Gary Barwin) et Please no more poetry: the poetry of derek beaulieu.
Il a également écrit quatre recueils de fiction conceptuelle : a novel, flatland, Local Colour et How To Write, mis en nomination pour le prix W.O. Mitchell. Il est par ailleurs l’auteur de deux recueils d’essais, Seen of the Crime et The Unbearable Contact with Poets. M. beaulieu a codirigé les ouvrages RUSH: what fuckan theory de bill bisset (avec Gregory Betts) et Writing Surfaces: selected fiction of John Riddell (avec Lori Emerson).
Il est l’éditeur de no press, une maison d’édition encensée, et conservateur de la section de poésie visuelle d’UBUWeb. M. beaulieu a exposé ses œuvres au Canada, aux États-Unis et en Europe et est un enseignant primé. Il a étudié la poésie canadienne à la University of Calgary, et a été le poète officiel de Calgary de 2014 à 2016.
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Valérie Bécaert
Directrice, développement des partenariats et de la mobilisation des connaissances, Institut de valorisation des données
Valérie Bécaert
Directrice, développement des partenariats et de la mobilisation des connaissances, Institut de valorisation des données
10 minutes de réflexion pour 2067
Le pouvoir des données (en français)
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Valérie Bécaert est du développement des partenariats et de la mobilisation des connaissances de l’Institut de valorisation des données (IVADO), qui rassemble l’expertise de plus de 1 000 scientifiques et œuvre à valoriser économiquement et socialement des données de toute provenance et de toute forme. Grâce à un financement d’Apogée Canada, IVADO réalisera sa mission de faire de Montréal un pôle scientifique internationalement reconnu en valorisation des données et en intelligence artificielle.
Mme Bécaert est titulaire d’un doctorat en génie chimique de Polytechnique Montréal en modélisation environnementale. Sa carrière a débuté en tant que chercheuse dans le domaine de l’analyse du cycle de vie, un outil puissant modélisant l’impact potentiel des activités humaines sur notre environnement. Elle a par la suite été directrice du Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services, et co-fondatrice et directrice du Centre interdisciplinaire en opérationnalisation du développement durable. C’est en travaillant avec des chercheurs en optimisation et en mathématique pour résoudre des problématiques environnementales qu’elle a été convaincue que notre capacité à générer, à analyser et à valoriser les données changera le monde.
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Stewart Beck
Président et chef de la direction, Fondation Asie-Pacifique du Canada
Stewart Beck
Président et chef de la direction, Fondation Asie-Pacifique du Canada
La route vers 2067 – table ronde
6 février 2017, 9 h 45 – 11 h
Avant de se joindre à la Fondation Asie-Pacifique du Canada, M. Beck a occupé le poste de haut-commissaire du Canada auprès de la République de l’Inde, avec accréditation simultanée au Royaume du Bhoutan et au Népal. Il est entré au service d’Affaires mondiales Canada en 1982 et a travaillé à l’étranger, notamment aux États-Unis, à Taïwan et en République populaire de Chine.
À Ottawa, il a occupé différents postes, dont ceux de directeur général de la Direction générale de l’Asie du Nord, de directeur général responsable de la haute direction et des affectations par rotation ainsi que de sous-ministre adjoint, Développement du commerce international, investissement et innovation. Il a également été consul général à Shanghai, ainsi qu’à San Francisco avant son affectation en Inde.
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Ian Bird
Président, Fondations communautaires du Canada
Ian Bird
Président, Fondations communautaires du Canada
La route vers 2067 – table ronde
6 février 2017, 9 h 45 – 11 h
Dès le moment où il s’est joint aux Fondations communautaires du Canada (FCC) en 2011, M. Bird a adopté la vision « ensemble pour tous » de l’organisme et s’est lancé à la recherche d’occasions de mobiliser ce vaste réseau de 191 fondations communautaires dans le but d’en accroître l’impact dans les collectivités dans l’ensemble du Canada.
Athlète deux fois olympien au sein de l’équipe de hockey sur gazon, M. Bird est connu dans le milieu du sport pour son aptitude à formuler des groupes aptes à susciter le changement. C’est ce qu’il a fait aux FCC : qu’il s’agisse d’enrichir le cercle des conseillers des FCC de nouveaux points de vue et expertises ou de créer des partenariats fondés sur des intérêts et objectifs communs, M. Bird s’est efforcé de trouver de nouvelles façons qui permettent au mouvement de relever des défis complexes pour les collectivités.
Sous sa gouverne, les FCC ont créé Des communautés de cœur et d’avenir, programme phare visant à bâtir une nation bienveillante et avertie. Cette vision continue d’orienter le travail des FCC, d’Alliance 150 et d’autres partenaires en vue d’un Canada pluraliste et réconcilié dès 2017 et pour l’avenir. Les FCC ont aussi joué un rôle de premier plan dans la création et le développement de la Fondation Rideau Hall, dont M. Bird a été le premier directeur général.
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Ray Boisvert
Conseil provincial en matière de sécurité, Gouvernement de l’Ontario
Ray Boisvert
Conseil provincial en matière de sécurité, Gouvernement de l’Ontario
Ancien directeur adjoint chargé du renseignement au SCRS10 minutes de réflexion pour 2067
Au carrefour du savoir, de la démocratie, de la sécurité et de la dystophie
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Conférencier international chevronné, Ray Boisvert fournit des conseils pratiques sur la cybersécurité, le contexte de menace mondiale et les événements terroristes.
Conseiller provincial en matière de sécurité pour le gouvernement de l’Ontario depuis le 2 janvier 2017, M. Boisvert est chargé d’informer et de conseiller sur les questions de sécurité nationale de compétence provinciale. Il a pour rôle d’appuyer les efforts consacrés à la protection des actifs provinciaux contre des situations pouvant potentiellement nuire aux services, aux réseaux et aux installations qui sont essentiels à l’économie, à la sûreté et à la sécurité publiques de l’Ontario.
Il a aussi fondé et dirigé l’entreprise ISECIS qui offre des conseils stratégiques et des tactiques uniques à des clients des secteurs privé et public dans les domaines de la détermination et de l’atténuation des risques. Il a également fait partie de l’équipe de résilience numérique de Hill + Knowlton Strategies de 2014 à 2016.
M. Boisvert possède plus de 30 ans d’expérience des milieux du renseignement et de la sécurité nationale. Il a commencé sa carrière au sein de la Gendarmerie royale du Canada et a occupé plusieurs postes de niveau supérieur au Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS). Pendant son mandat au SCRS, M. Boisvert a participé à divers aspects des opérations de renseignement de sécurité, entre autres en matière de technologie, de contre-terrorisme, d’exploitation de données et de gestion du risque.
Il est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques et en histoire de la Carleton University.
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Jessica Bolduc
Directrice générale, Mouvement jeunesse des 4R
Jessica Bolduc
Directrice générale, Mouvement jeunesse des 4R
La route vers 2067 – table ronde
6 février 2017, 9 h 45 – 11 h
Jessica Bolduc est directrice générale du Mouvement jeunesse des 4R, un regroupement de 14 organisations nationales qui favorise des rencontres entre jeunes Autochtones et non-Autochtones dans le but d’apprendre à se connaître et de bâtir un avenir meilleur.
Mme Bolduc, qui habite depuis toujours dans le nord de l’Ontario, fait partie de la communauté francophone des Anishinaabes de la Première nation de Batchewana, de Sault-Sainte-Marie. Elle est membre du conseil d’administration de Fondations communautaires du Canada et de Thinking Rock Community Arts en plus d’être membre de l’équipe de base de l’organisme Youth Social Infrastructure (YSI) Collaborative.
Au sein de sa collectivité, Mme Bolduc travaille avec d’autres jeunes chefs de file pour stimuler les initiatives économiques axées sur l’art, les infrastructures sociales et les lieux de rassemblement pour les initiateurs de changement du nord de l’Ontario. Elle espère que ces initiatives accéléreront la création d’une fondation communautaire à Sault-Sainte-Marie.
Mme Bolduc est titulaire d’un baccalauréat en économie de la Carleton University.
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Sheila Cote-Meek
Vice-rectrice adjointe aux études et aux programmes autochtones, Université Laurentienne
Sheila Cote-Meek
Vice-rectrice adjointe aux études et aux programmes autochtones, Université Laurentienne
Rétablir les relations : Faire progresser la réconciliation à l’université et au-delà
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Sheila Cote-Meek est l’auteure de l’ouvrage Colonized Classrooms. Racism, Trauma and Resistance in Post-Secondary Education, paru en 2014. Elle est professeure titulaire à l’École de santé rurale et du Nord de l’Université Laurentienne, où elle occupe également le poste de vice-rectrice associée aux études et aux programmes autochtones.
En tant que responsable principale des programmes autochtones, elle s’occupe des relations entre l’Université et le corps professoral et dirige l’élaboration de cours à l’intention des Autochtones dans les diverses disciplines. Elle est également responsable de la mise sur pied du centre de partage et d’apprentissage autochtone, un espace physique dédié à l’apprentissage, à la culture et aux activités savantes autochtones à l’Université Laurentienne.
Membre de la Première Nation Teme-Augama Anishnabai, elle est originaire du nord de l’Ontario.
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Aaron Devor
Titulaire de la chaire d’études transgenres, Université de Victoria
Aaron Devor
Titulaire de la chaire d’études transgenres, Université de Victoria
Abolir les obstacles : Rendre le Canada plus inclusif
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Aaron Devor est titulaire de la seule chaire de recherche en études transgenres au monde. Chercheur et professeur en questions transgenres depuis plus de 30 ans, il est l’auteur fréquemment cité de nombreux articles savants et des ouvrages acclamés FTM: Female-to-Male Transsexuals in Society (2016, 1997), finaliste pour le prix Lambda Literary Award The Transgender Archives: Foundations for the Future (2014) et Gender Blending: Confronting the Limits of Duality (1989).
Lauréat d’un Prix 3M d’excellence en enseignement, M. Devor est membre de la prestigieuse Académie internationale de recherche en sexologie et membre élu de la Société pour l’étude scientifique de la sexualité. Également membre du comité sur les normes de soins de l’Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres depuis 1999, il supervise la traduction des normes dans différentes langues.
Devor est fondateur et directeur de Transgender Archives, le plus important service d’archives transgenres au monde, et responsable des colloques Moving Trans History Forward. Il est actuellement professeur de sociologie à l’Université de Victoria où il a été doyen des études supérieures de 2002 à 2012.
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Robert Diaz
Professeur adjoint, Institut des études féminines et de genre, University of Toronto
Robert Diaz
Professeur adjoint, Institut des études féminines et de genre, University of Toronto
Le pouvoir de l’art : Renforcer et célébrer le pluralisme par l’art
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Robert Diaz est professeur adjoint à l’Institut des études féminines et de genre à la University of Toronto. Ses activités de recherche, d’enseignement et de travail communautaire sont axées sur les riches recoupements entre les formes d’expression culturelle asiatiques, migratoires et des diasporas. Il a démontré son savoir dans d’importantes publications sur la race, le genre et la sexualité. Par ailleurs, M. Diaz s’est engagé à faire la promotion de l’égalité et de la justice sociale. Il collabore avec des organisations de la région du Grand Toronto qui cherchent à améliorer la vie des collectivités autochtones, allosexuelles et marginalisées sur le plan racial.
Diaz coédite actuellement Diasporic Intimacies: Queer Filipinos and Canadian Imaginaries, une collection révolutionnaire d’ouvrages mettant au premier plan l’apport des Philipins LGBTQ à la culture, à la société et à l’art canadiens (publiée sous peu par Northwestern University Press). Cette collection a été inspirée par un rassemblement historique intitulé Diasporic Intimacies: Queer Filipinos /as and Canadian Imaginaries dont il était l’un des organisateurs.
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Zahra Ebrahim
Codirectrice, Doblin Canada
Zahra Ebrahim
Codirectrice, Doblin Canada
10 minutes de réflexion pour 2067
Concevoir l’avenir en commençant avec les gens
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
En tant que codirectrice de Doblin au Canada, une firme mondiale d’innovation, Zahra Ebrahim mène des projets de transformation fondés sur le design et axés sur l’utilisateur dans les secteurs public et privé. Designer possédant une formation en architecture, elle rassemble des intervenants qui se penchent sur les enjeux complexes auxquels sont confrontées les organisations et l’industrie.
Il y a 10 ans, Mme Ebrahim a fondé archiTEXT, l’une des premières firmes d’innovation fondées sur le design au Canada, dirigeant des projets avec les plus importants organismes caritatifs et philanthropiques du pays, ainsi qu’avec les organes de gouvernance afin d’aider à mieux comprendre comment communiquer avec les personnes qu’ils servent.
Mme Ebrahim a enseigné pendant six ans à l’OCAD University et au Museum of Modern Art. Elle enseigne actuellement à la University of Toronto. Elle a été « innovatrice en résidence » au musée national du design du Canada et nommée parmi les 50 personnalités les plus influentes de la ville par le Toronto Life. Elle a également fait partie de la liste des 40 dirigeants de moins de 40 ans dans la collectivité de Next City (Vanguards conference), et Centraide lui a décerné le titre d’« artisane du changement à surveiller en 2016 ».
Dans ses temps libres, elle siège à des conseils d’administration et agit à titre de conseillère dans divers projets. Elle préside entre autres le conseil d’administration de Jane’s Walk et est vice-présidente de celui du centre communautaire St. Stephen, l’une des plus grandes agences de service social de Toronto.
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Jason Edward Lewis
Titulaire de la chaire de recherche sur les médias informatiques et l’imaginaire futuriste des peuples autochtones, Université Concordia
Jason Edward Lewis
Titulaire de la chaire de recherche sur les médias informatiques et l’imaginaire futuriste des peuples autochtones, Université Concordia
10 minutes de réflexion pour 2067
L’initiative pour l’avenir des Autochtones
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Jason Edward Lewis est un poète des médias numériques, un artiste et un concepteur de logiciels. Il a fondé l’Obx Laboratory for Experimental Media, où il dirige des projets de recherche et de création sur le calcul en tant que matériel créatif et culturel. Boursier de la Fondation Trudeau, M. Lewis enseigne en arts informatiques à l’Université Concordia.
Lewis est déterminé à mettre au point de nouvelles formes d’expression fascinantes en travaillant à la fois sur les plans conceptuel, critique, créatif et technique. Il codirige le réseau de recherche Aboriginal Territories in Cyberspace qui étudie la façon dont les Autochtones utilisent les médias numériques pour comprendre leur passé, composer avec le présent et façonner l’avenir. Il codirige également les ateliers Skins sur la tradition orale autochtone et la conception de jeux vidéo, en plus de diriger l’Initiative for Indigenous Futures Partnership.
Avant de faire son entrée dans le milieu universitaire, M. Lewis a vécu pendant 15 ans à Silicon Valley, où il a étudié les premiers médias numériques et en réseau à l’Institute for Research on Learning et a travaillé pour les sociétés Fitch Design et Interval Research. En 2009, il a fondé Arts Alliance Laboratory, la division de recherche et développement d’Arts Alliance, une société de capital-risque londonienne.
D’origine cherokee, hawaïenne et samoane, il est originaire du nord de la Californie.
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George Elliot Clarke
Poète officiel du Parlement du Canada
George Elliot Clarke
Poète officiel du Parlement du Canada
Lancement de Canada 150 – réception
6 février 2017, 18 h – 19 h
George Elliott Clarke est le septième poète officiel du Parlement dans l’histoire du Canada. Diplômé de la University of Waterloo (B.A. spécialisé, 1984), de la Dalhousie University (M.A., 1989) et de la Queen’s University (Ph. D., 1993), M. Clarke est maintenant le premier professeur titulaire de la chaire de littérature canadienne E. J. Pratt à la University of Toronto.
Au cours de sa carrière, il a notamment été professeur adjoint en études anglaises et canadiennes à l’Université Duke, en Caroline du Nord (1994-1999), chercheur invité à la chaire d’études canadiennes Seagrams à l’Université McGill (1998-1999), spécialiste universitaire à la University of British Columbia (2002), chercheur invité à la Mount Allison University (2005) et chercheur invité à la chaire d’études canadiennes William Lyon Mackenzie King à l’Université Harvard (2013-2014).
Il a également travaillé comme recherchiste, rédacteur, travailleur social, adjoint parlementaire et chroniqueur.
Parmi les nombreuses distinctions conférées à M. Clarke, mentionnons le Prix Portia White pour accomplissement artistique (1998), le Prix littéraire du Gouverneur général en poésie (2001), la Médaille d’Or des Prix du magazine canadien dans la catégorie poésie (2001), le Prix Réussite Martin Luther King Jr. (2004), le Prix Trudeau de la Fondation Pierre Elliott Trudeau (2005), le Prix littéraire Dartmouth dans la catégorie fiction (2006) et le Prix littéraire Eric Hoffer en poésie (2009). Il a aussi été nommé membre de l’Ordre de la Nouvelle-Écosse (2006) et officier de l’Ordre du Canada (2008), et s’est vu décerner huit doctorats honorifiques.
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Breanne Everett
Cofondatrice, Orpyx Medical Technologies
Breanne Everett
Cofondatrice, Orpyx Medical Technologies
10 minutes de réflexion pour 2067
Une meilleure santé humaine grâce aux technologies portables à caractère préventif
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
La Dre Breanne Everett a cofondé Orpyx Medical Technologies pour concrétiser son idée de semelles intérieures qui incitent les patients diabétiques ayant une affection du pied à bouger leurs pieds pour améliorer leur circulation sanguine. Cette technologie portable unique a amélioré la qualité de vie des utilisateurs et diminué le coût des soins de santé en réduisant les risques de lésion, d’infection et d’amputation dus aux atteintes nerveuses et à la mauvaise circulation causées par le diabète. La technologie de la plateforme Orpyx peut aussi avoir de nombreuses applications en prévention de plaie de lit, en optimisation de la performance des athlètes et en prévention de blessure.
Médecin et résidente en chirurgie plastique et reconstructive à la University of Calgary, la Dre Everett était l’une des six récipiendaires du Prix du Gouverneur général pour l’innovation en 2016. À titre de boursière nationale Loran, elle est active dans le milieu des anciens boursiers Loran et siège au conseil d’examen scientifique de la Pedorthic Research Association of Canada et au conseil d’innovation de Joule de l’Association médicale canadienne.
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Andrea Fatona
Directrice, Programme d’études supérieures en critique et pratique de conservation, OCAD University
Andrea Fatona
Directrice, programme d’études supérieures en critique et pratique de conservation, OCAD University
Le pouvoir de l’art : Renforcer et célébrer le pluralisme par l’art
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
La professeure adjointe Andrea Fatona est actuellement directrice du programme d’études supérieures en critique et pratique de conservation à l’OCAD University.
Elle a occupé les postes de conservatrice de l’art contemporain à la Galerie d’art d’Ottawa, de directrice de programme de Video In, à Vancouver, de codirectrice de la galerie Artspeak, à Vancouver, et de directrice artistique de la galerie Artspace, à Peterborough.
Mme Fatona est boursière du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts de l’Ontario. Elle collabore à la rédaction de C Magazine et TOPIA: Canadian Journal of Cultural Studies et est l’auteure d’articles savants, de textes destinés à des catalogues, ainsi que de chapitres d’ouvrages parus dans diverses publications.
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Max FineDay
Codirecteur général, Échanges Racines Canadiennes
Max FineDay
Codirecteur général, Échanges Racines Canadiennes
10 minutes de réflexion pour 2067
Miskwêyitamowin : Réinventer le rôle de partenaires des universités dans la réconciliation
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Max FineDay, membre de la Première nation de Sweetgrass et codirecteur général d’Échanges Racines Canadiennes, un organisme à but non lucratif national qui offre aux jeunes Autochtones et non-Autochtones des occasions de discuter de réconciliation, des ateliers de développement du leadership et des initiatives éducatives.
M. FineDay est connu pour son travail sur le développement du leadership chez les jeunes, ses exposés en faveur du changement et d’une accessibilité accrue à l’éducation postsecondaire pour les collectivités sous-représentées. Il a reçu un prix 40 Canadiens performants de moins de 40 ans de CBC Saskatchewan en 2014.
Pour M. FineDay aux origines norvégiennes-canadiennes et nêhiyaw, la réconciliation est une valeur fondamentale. Il croit fermement que le leadership et les chefs de file de sa génération peuvent jouer un rôle déterminant dans la réconciliation pour le Canada.
M. FineDay a collaboré avec le quotidien The Globe and Mail, la CBC, le magazine Briarpatch, Academica, et il a écrit des articles sur les déterminants sociaux de la santé d’un point de vue autochtone pour Upstream, un groupe de réflexion national sur les politiques en santé.
Titulaire d’un baccalauréat en études politiques de la University of Saskatchewan, il a également étudié dans le cercle arctique à l’Université de Nordland à Bodø, en Norvège.
Lorsqu’il n’est pas en train de défendre férocement son opinion, M. Fineday tente de maîtriser le nêhiyawewin (langue crie), gazouille sur Twitter et rit de ses propres blagues.
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Suzanne Fortier
Principale et cive-chancelière, Université McGill
Suzanne Fortier
Principale et vice-chancelière, Université McGill
La route vers 2067 – table ronde
6 février 2017, 9 h 45 – 11 h
Suzanne Fortier assume les fonctions de principale et vice-chancelière de l’Université McGill depuis septembre 2013. Auparavant, Mme Fortier a assuré la présidence du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada de 2006 à 2013. Elle a occupé le rôle de vice-principale à l’enseignement de 2000 à 2005 et de vice-principale à la recherche de 1995 à 2000 à l’Université Queen’s, située à Kingston en Ontario, où elle était également professeure au Département de chimie et à l’École des sciences informatiques.
Originaire de Saint-Timothée, au Québec, Mme Fortier a obtenu un baccalauréat en sciences et un doctorat en cristallographie de l’Université McGill. Elle a reçu nombre de prix et de distinctions, dont un doctorat honorifique des universités Thompson Rivers et Carleton de même que de l’Université de Glasgow. Suzanne Fortier est Officier de l’Ordre national du mérite de France, membre de l’Association américaine pour l’avancement des sciences et membre à titre spécial de la Société royale du Canada (2015).
Mme Fortier est vice-présidente du Conseil des sciences, de la technologie et de l’innovation. Elle est membre du jury international d’Investissements d’Avenir de France et de la Table ronde sur le milieu des affaires et de l’enseignement supérieur au Canada. En 2016, elle a été nommée membre du Conseil consultatif en matière de croissance économique auprès du ministre des Finances du Canada ainsi que du Global University Leaders du Forum économique mondial. Mme Fortier est administratrice au conseil d’administration d’Universités Canada.
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Cissie Fu
Doyenne, Faculté des études culturelles et communautaires à l’Emily Carr University of Art + Design
Cissie Fu
Doyenne, Faculté des études culturelles et communautaires à l’Emily Carr University of Art + Design
Le pouvoir de l’art : Renforcer et célébrer le pluralisme par l’art
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Cissie Fu est doyenne de la faculté des études culturelles et communautaires à l’Emily Carr University of Art + Design et cofondatrice de la Political Arts Initiative.
Ses travaux de recherche se situent à la croisée de la politique, de la philosophie et des arts d’interprétation et sont axés sur les manifestations politiques contemporaines par des moyens d’action et d’expression individuels et collectifs. Elle écrit actuellement un livre sur la politique du silence.
Après avoir reçu un baccalauréat ès arts en études gouvernementales et philosophie de l’Université Harvard, Mme Fu a obtenu une maîtrise en études de la condition féminine, une maîtrise ès sciences en recherche politique et méthodologie, ainsi qu’un doctorat en sciences politiques et relations internationales de l’Université d’Oxford. Elle a été chargée de cours à l’Université d’Oxford et au Collège universitaire de Londres. Des établissements d’art font régulièrement appel à Mme Fu en tant qu’artiste et conservatrice invitée.
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Steve Giasson
Artiste conceptuel et doctorant, UQAM
Steve Giasson
Artiste conceptuel et doctorant, UQAM
Poésie éclair
Les 6 et 7 février 2017
Steve Giasson est un artiste conceptuel qui utilise une grande variété de médiums (écriture conceptuelle, performance, installation, vidéo, photographie) afin de transgresser les genres et d’interroger leurs limites.
Il compte 20 livres d’art et de poésie à son actif et il poursuit actuellement un doctorat en études et pratiques des arts à l’UQAM. Son travail a été présenté au Canada, aux États-Unis, au Mexique, en Angleterre, en Espagne, en France, en Allemagne, en Suisse et en Suède, dans le cadre de cinq expositions solos et de nombreuses expositions collectives, dont la Liverpool Biennial 2012, le Text Festival 2011 et 2014 (Manchester), le Dark Would au Summerhall (Edinbourg) et le ED RUSCHA BOOKS & Co. au Museum Brandhorst (Munich) et à la Gagosian Gallery (New York, Paris et Beverly Hills).
Dans le Bilan de l’année 2015 du quotidien Le Devoir, M. Giasson a été cité parmi les trois « espoirs » de la relève en arts visuels. Il est lauréat du Prix de La Vitrine culturelle pour un artiste émergeant et d’une mention du Cirque du Soleil, décernés dans le cadre du Festival Art Souterrain 2015.
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Richard Harrison
Professeur, département d’anglais, des langues et des cultures, Mount Royal University
Richard Harrison
Professeur, département d’anglais, des langues et des cultures, Mount Royal University
Poésie éclair
Les 6 et 7 février 2017
Richard Harrison a écrit six recueils de poésie parmi lesquels Big Breath of a Wish, en nomination pour le Prix littéraire du Gouverneur général, des poèmes sur l’apprentissage du langage de sa fillette, et Hero of the Play, des poèmes dans la langue du hockey, lancé au Temple de la renommée du hockey.
Son récent ouvrage, On Not Losing My Father’s Ashes in the Flood (2016), a pour toile de fond le débordement de la rivière Bow.
Harrison enseigne l’anglais et la création littéraire à la Mount Royal University de Calgary. Il est titulaire d’un baccalauréat en biologie et d’un baccalauréat en philosophie de la Trent University, ainsi que d’une maîtrise en anglais de l’Université Concordia.
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Joy Johnson
Vice-rectrice à la recherche, Simon Fraser University
Joy Johnson
Vice-rectrice à la recherche, Simon Fraser University
Abolir les obstacles : Rendre le Canada plus inclusif
6 février 2017, 15 h 15 – 16 h 30
Joy Johnson dirige les initiatives de recherche stratégique de la Simon Fraser University et facilite les débouchés internationaux qui favorisent la collaboration en recherche et les échanges étudiants. Elle s’emploie principalement à créer des conditions propices à l’excellence en recherche et à aider l’Université à saisir de nouvelles occasions.
Mme Johnson a commencé à travailler à l’Université en septembre 2014, après avoir occupé le poste de directrice scientifique de l’Institut de la santé des femmes et des hommes des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC). Ses travaux de recherche portent sur la promotion de la santé et les modifications du comportement liées à la santé et sont axés en grande partie sur les enjeux sexospécifiques en matière de toxicomanie et de santé mentale.
Le travail de Mme Johnson lui a valu de nombreuses récompenses, dont un prix de recherche Killam décerné par la University of British Columbia. En 2010, elle s’est classée parmi les 100 femmes d’influence de la Colombie-Britannique.
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Janice Keefe
Directrice, Centre de recherche sur le vieillissement de la Nouvelle-Écosse, Mount Saint Vincent University
Janice Keefe
Directrice, Centre de recherche sur le vieillissement de la Nouvelle-Écosse, Mount Saint Vincent University
10 minutes de réflexion pour 2067
Un avenir vieillissant : Changer l’histoire
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Janice Keefe est professeure au département des études de la famille et de gérontologie à la Mount Saint Vincent University et occupe des postes dans les facultés de médecine et des études supérieures de la Dalhousie University, ainsi qu’à l’école des études supérieures de la University of New Brunswick. De 2002 à 2012, Mme Keefe a été titulaire de la première Chaire de recherche du Canada de la Mount Saint Vincent University sur les politiques relatives au vieillissement et à la prestation des soins. Reconnue à l’échelle provinciale, nationale et internationale pour ses travaux de recherche, elle a récemment été honorée par l’Association canadienne des soins de santé pour sa contribution aux soins de longue durée au Canada.
En 2006, Mme Keefe a obtenu la Chaire de recherche Lena Isabel Jodrey en gérontologie et a été nommée directrice du Centre de recherche sur le vieillissement de la Nouvelle-Écosse. Son expertise en recherche touche les politiques et les pratiques de prestation des soins, les politiques de soins de longue durée et la prévision des besoins des personnes âgées. Au cours des dix dernières années, elle a publié plus de 60 articles et rapports techniques. Elle donne des cours à la maîtrise en politique sociale et sur le vieillissement des populations et au programme de premier cycle du département des études de la famille et de gérontologie. Elle offre du mentorat et de l’encadrement à de nombreux étudiants aux cycles supérieurs et chercheurs postdoctoraux.
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Gary Kobinger
Directeur, CHUL et Centre de recherche en infectiologie, Université Laval
Gary Kobinger
Directeur, CHUL et Centre de recherche en infectiologie, Université Laval
10 munites de réfleexion pour 20167
Vers 2067 : Maintenir et améliorer notre système de soins de santé par la recherche et l’innovation
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
M. Kobinger et son ancienne équipe de chercheurs du Laboratoire national de microbiologie de l’Agence de la santé publique ont mis au point un vaccin contre le dévastateur virus Ebola ainsi qu’un médicament pour traiter les personnes déjà infectées par le virus. Le VSV-EBOV, surnommé mondialement le vaccin canadien, et le traitement ZMapp se sont avérés si efficaces pour prévenir la propagation du virus que les essais cliniques ont été accélérés et la distribution, effectuée sous délai, ce qui a probablement sauvé des milliers de vies.
M. Kobinger revient à son alma mater cet été, là où il a obtenu son B.Sc. en microbiologie. À l’Université Laval, il entend poursuivre la mise sur pied d’une plateforme d’intervention qui permettrait de réagir plus rapidement aux agents pathogènes émergents et réémergents. Il souhaite aussi constituer une biobanque où les agents pathogènes et les lots de vaccins seront conservés dans des conditions assurant le maintien d’une qualité suffisante pour être utilisés dans des essais cliniques.
M. Kobinger a signé 120 articles évalués par des pairs et détient 9 brevets. En 2016, il a été nommé Scientifique de l’année par Radio-Canada pour ses travaux sur le virus Ebola.
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Jérôme Lapointe
Doctorant en génie physique, Polytechnique Montréal
Jérôme Lapointe
Doctorant en génie physique, Polytechnique Montréal
10 minutes de réflexion pour 2067
Technologie 2067 : Travailler moins, vivre mieux (en français)
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Jérôme Lapointe est finissant au doctorat en génie physique à Polytechnique Montréal. Sa passion : la lumière. Un de ses articles, Making Smartphones smarter with photonics, acclamé comme l’une des 10 découvertes de l’année 2015 par Québec Science, pourra peut-être révolutionner le monde des multimédias. M. Lapointe démontre comment les premiers dispositifs invisibles permettraient ainsi d’ajouter des fonctions aux écrans de verre des téléphones mobiles. Du test de glycémie à l’alcotest, les applications peuvent être infinies en plaçant une simple goutte sur l’écran.
Le jeune ingénieur est l’auteur de plus de 30 publications scientifiques et professeur de physique à l’université. Il a obtenu de nombreux prix dont la Médaille du Lieutenant-gouverneur pour la jeunesse et la Bourse d’études supérieures du Canada Alexander-Graham-Bell. Il a aussi récemment été nommé parmi les 10 ingénieurs de moins de 35 ans qui bâtissent l’avenir selon le journal Les Affaires.
Son rêve est d’aider les ingénieurs et les scientifiques prometteurs à s’épanouir au profit de la société. Ayant déjà entamé cet objectif au niveau universitaire en fondant la société technique PolyProject, qui a servi de tremplin pour mettre en commun des idées d’inventions et sélectionner les plus prometteuses pour les mettre au point, M. Lapointe veut transférer ses efforts au niveau canadien.
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Micheline Maylor
Poète officielle de la ville de Calgary, 2016-2018
Micheline Maylor
Poète officielle de la ville de Calgary, 2016-2018
Chargée de cours, département d’anglais, des langues et des cultures, Mount Royal UniversityPoésie éclair
Les 6 et 7 février 2017
Micheline Maylor est la poète officielle de Calgary. Son recueil Little Wildheart, qui a été retenu pour le prix de poésie expérimentale Robert Kroetsch et sera publié sous peu par les presses de la University of Alberta (2017), tente de répondre à la question : Que signifie être humain dans notre environnement?
Son deuxième recueil, Whirr and Click (2013), a été retenu pour le prix Pat Lowther Memorial. Ses plus récentes œuvres peuvent être lues dans Partisan, The Literary Review of Canada et Quill and Quire.
Mme Maylor enseigne la création littéraire à la Mount Royal University, où elle a remporté le prix d’excellence en enseignement en 2015. Elle a été l’auteure en résidence de la bibliothèque publique de Calgary à l’automne de 2016. Elle est éditrice de la poésie à Frontenac House Press, de même que présidente sortante et cofondatrice de la Freefall Literary Society, où elle est éditrice-conseil.
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Bessma Momani
Professeure, sciences politiques, University of Waterloo
Bessma Momani
Professeure de sciences politiques, University of Waterloo et Balsillie School of International Affairs
Agrégée supérieure de recherche au Centre for International Governance and Innovation10 minutes de réflexion pour 2067
Analyse de rentabilité du pluralisme canadien
7 février 2017; 9 h 15 – 10 h 45
Experte en gouvernance économique mondiale, Mme Momani se spécialise dans l’économie politique du Moyen-Orient. Elle possède une vaste expertise de la politique étrangère canadienne, du printemps arabe et de la culture organisationnelle. Plus récemment, les travaux de recherche de Mme Momani ont porté sur l’élaboration de politiques publiques favorisant le comportement civique des jeunes arabo-canadiens et encourageant leur engagement citoyen dans une société pluraliste.
Mme Momani est lauréate 2015 de la fondation Pierre Elliott Trudeau et boursière Fulbright. Elle est aussi agrégée supérieure de recherche non résidente au Brookings Doha Centre, et au Brookings Institution à Washington, D.C., ainsi que chercheuse visiteuse au Centre Mortara de l’Université de Georgetown.
Mme Momani a signé et codirigé plus de huit ouvrages et plus de 65 articles savants de revues évaluées par des pairs sur le FMI, la Banque mondiale, les pétrodollars, le Moyen-Orient et la jeunesse arabe. Elle est bénéficiaire d’une subvention de recherche du Conseil de recherches en sciences humaines pour une étude sur la coopération entre le FMI et la Banque mondiale. Mme Momani collabore régulièrement avec divers médias nationaux et internationaux sur des questions touchant la région arabe, les politiques internationales et la gouvernance économique mondiale.
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Ry Moran
Directeur, Centre national de recherche pour la vérité et réconciliation, University of Manitoba
Ry Moran
Directeur, Centre national de recherche pour la vérité et réconciliation, University of Manitoba
Rétablir les relations : Faire progresser la réconciliation à l’université et au-delà
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Ry Moran est le premier directeur du Centre national de recherche pour la vérité et la réconciliation, situé à la University of Manitoba. Il est chargé de guider la création d’un trésor national pérenne, une archive autochtone dynamique reposant sur l’intégrité, la confiance et la dignité. Il a accepté un poste au Centre après avoir fait partie de la Commission de vérité et réconciliation du Canada.
Avant de travailler à la Commission, M. Moran a fondé et présidé YellowTilt Productions, une entreprise offrant des services dans divers domaines, dont des projets axés sur la présentation des langues autochtones et l’histoire orale. Il a animé des émissions de télévision diffusées à l’échelle internationale, produit des événements culturels nationaux, ainsi que composé et produit de la musique originale destinée à des émissions de télévision pour enfants. M. Moran s’est vu remettre un Prix du programme national des modèles autochtones, de même qu’un Canadian Aboriginal Music Award.
En plus de bâtir le Centre à partir de zéro en collaboration avec son équipe, M. Moran continue de faire la promotion des intérêts des survivants, de la vérité et de la réconciliation en s’exprimant régulièrement à la radio, dans la presse écrite et à la télévision. Il est un fier membre de la Nation métisse.
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Julie Nagam
Professeure agrégée, titulaire de la chaire d’histoire de l’art autochtone en Amérique du Nord
Julie Nagam
Professeure agrégée, titulaire de la chaire d’histoire de l’art autochtone en Amérique du Nord
Le pouvoir de l’art : Renforcer et célébrer le pluralisme par l’art
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Titulaire de la première chaire en histoire de l’art autochtone en Amérique du Nord, Julie Nagam travaille à la fois à la University of Winnipeg et à la Galerie d’art de Winnipeg. Elle est chargée de l’élaboration d’une série de cours, d’expositions et de programmes connexes conçus pour mettre en valeur l’art autochtone.
Elle dirige actuellement une équipe ayant pour mandat de créer une application autochtone sur l’histoire de l’art, de l’architecture et des lieux de Winnipeg et exerce les fonctions de coconservatrice d’une exposition sur l’art autochtone contemporain prévue à la Galerie d’art de Winnipeg à l’automne 2017.
Auparavant, Mme Nagam était professeure adjointe au programme de culture visuelle autochtone à la faculté des arts libéraux et des sciences de l’OCAD University. Elle est titulaire d’un doctorat en pensée sociale et politique de l’Université York, ainsi que d’une maîtrise en études autochtones et d’un baccalauréat en études de la condition féminine et en histoire de l’art de la University of Manitoba.
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Santa Ono
Recteur et vice-chancelier, University of British Columbia
Santa Ono
Recteur et vice-chancelier, University of British Columbia
La route vers 2067 – table ronde
6 février 2017, 9 h 45 – 11 h
Santa Ono, professeur à la University of British Columbia, est devenu recteur et vice-chancelier de cet établissement le 15 août 2016. Né à Vancouver, ce chercheur biomédical a aussi travaillé aux universités Harvard, Johns Hopkins et Emory ainsi qu’au Collège universitaire de Londres.
Les recherches de M. Ono portent sur le système immunitaire, l’inflammation oculaire et la dégénérescence maculaire liée à l’âge, une des principales causes de la cécité. Avec son équipe de recherche, il s’emploie à mettre au point un test sanguin qui pourrait déceler les biomarqueurs chez les personnes qui vont contracter la maladie.
Comme administrateur universitaire, M. Ono est également connu pour sa vision qui va au-delà du laboratoire. Il a occupé les postes de provost et de vice-recteur principal aux affaires universitaires à l’Université de Cincinnati, où il est ensuite devenu le premier recteur américano-asiatique en 2012.
Il accorde beaucoup d’importance à la diversité et ses réalisations en la matière ont récemment été reconnues par l’American Council on Education, qui lui a remis un prix soulignant son leadership et son engagement à l’échelle nationale pour la réussite universitaire des minorités raciales et ethniques. Le magazine Inside Higher Education lui a décerné le titre du plus éminent recteur américain de l’année 2015.
Grand amateur de musique en tout genre (de Rihanna à Rachmaninov), M. Ono a étudié au conservatoire de musique Peabody de Baltimore et trouve encore aujourd’hui le temps de chanter et de jouer du violoncelle.
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Reis Pagtakhan
Avocat spécialisé en droit de l’immigration et associé, MLT Aikins
Reis Pagtakhan
Avocat spécialisé en droit de l’immigration et associé, MLT Aikins
Portes ouvertes, Canada ouvert : Le Canada à l’ère des migrations internationales
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Associé du cabinet d’avocats MLT Aikins situé dans l’Ouest canadien, Reis Pagtakhan compte plus de 21 ans d’expérience à conseiller des entreprises, des organisations à but non lucratif et des particuliers en matière d’immigration.
Convaincu qu’il faut modifier les lois sur l’immigration afin de servir au mieux les intérêts de la société canadienne, M. Pagtakhan a présenté des exposés de position et témoigné devant les comités de la Chambre des communes et du Sénat afin de proposer des modifications à la législation en matière d’immigration.
Pagtakhan a été chargé de cours invité en droit de l’immigration à la faculté de droit de la University of Manitoba. Il a rédigé de nombreux articles d’opinion pour la CBC et le Winnipeg Free Press afin de recommander la mise en place au Canada d’un système d’immigration équitable qui attirera les meilleurs immigrants au monde.
Il est membre du conseil de leadership en ressources humaines de la Chambre de commerce de Winnipeg et siège au conseil d’administration de la Human Resource Management Association of Manitoba.
Pagtakhan est titulaire d’un baccalauréat en droit et d’un baccalauréat ès arts spécialisé de la University of Manitoba.
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Sina Queyras
Chargée de cours principale, département d’anglais, Université Concordia
Sina Queyras
Chargée de cours principale, département d’anglais, Université Concordia
Poésie éclair
Les 6 et 7 février 2017
Sina Queyras enseigne la création littéraire à l’Université Concordia. Elle est l’auteure de Lemon Hound et MxT, publiés aux éditions Coach House Books. My Ariel sera publié en 2017.
Son premier recueil de poésie, Slip (ECW, 2001) est une interprétation métrique du désir urbain au féminin. Lemon Hound (2006) met en scène Virginia Woolf et Gertrude Stein dans le Brooklyn et le Toronto du XXIe siècle.
L’ouvrage Expressway analyse les répercussions des infrastructures et des moyens de transport modernes, qui viennent troubler les modes pastoral et élégiaque; il a été candidat au Prix du Gouverneur général. MxT explore l’élégie et les modes élégiaques; cet ouvrage a été finaliste aux prix Lambda et a remporté le prix Pat Lowther et le prix de poésie AM Klein.
Sa première nouvelle, Autobiography of Childhood a été retenue pour le prix de la première nouvelle Amazon.ca.
Mme Queyras s’intéresse à l’écriture écopoétique, avant-gardiste et conceptuelle ainsi qu’aux écrivaines canadiennes et novatrices de tous genres.
Elle est titulaire d’une maîtrise de l’Université Concordia et d’un baccalauréat en beaux-arts de la University of British Columbia. Elle vit à Montréal et enseigne à l’Université Concordia.
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Maryam Sadeghi
Présidente-fondatrice, MetaOptima Technology Inc.
Maryam Sadeghi
Présidente-fondatrice, MetaOptima Technology Inc.
10 minutes de réflexion pour 2067
L’innovation au-delà des frontières : Répercussions mondiales futures de l’innovation canadienne, de la recherche à la commercialisation
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Préoccupée par les longs délais d’attente pour détecter de possibles grains de beauté malins, Maryam Sadeghi a créé MoleScope, un appareil avec application novateur et abordable. Cette invention primée a été créée alors que Mme Sadeghi dirigeait le Digital Health Hub de la Simon Fraser University (SFU) qu’elle a aussi fondé. Scientifique et ingénieure informaticienne remarquée pour sa vision dynamique de la recherche et des affaires, Mme Sadeghi dirige maintenant MetaOptima Technology Inc., qui a obtenu un prix du BCIC-New Ventures Competition en 2013.
Elle s’intéresse aux applications de cybersanté et aux solutions numériques de santé novatrices et axées sur le patient. Mme Sadeghi poursuit ses projets de recherche et scientifiques dans le cadre de ses fonctions de conseillère en technologie au Digital Health Hub de la SFU. Elle agit aussi comme mentor auprès d’élèves du secondaire à titre bénévole pour l’organisation Let’s Talk Science et Try/CATCH, événement annuel de la SFU qui fait la promotion des sciences et du génie informatiques auprès des filles.
Originaire de l’Iran, Mme Sadeghi s’installe au Canada en 2007 pour poursuivre ses études à la SFU. Elle obtient son doctorat au laboratoire Medical Image Analysis de l’Université, travaillant en étroite collaboration avec la BC Cancer Agency et le Skin Care Centre au département de dermatologie de la UBC.
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Dammee Sero
Coordonnatrice, Programme d’étudiants réfugiés, Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC)
Dammee Sero
Coordonnatrice, Programme d’étudiants réfugiés, Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC)
Portes ouvertes, Canada ouvert : Le Canada à l’ère des migrations internationales
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Dammee Sero est étudiante en quatrième année au programme d’étude des droits de la personne et de la diversité humaine de la Wilfrid Laurier University. Elle est arrivée à Brantford, en Ontario, en 2012 dans le cadre du Programme d’étudiants réfugiés de l’Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC) pour étudier et s’établir au Canada. Mme Sero est une poétesse passionnée et une leader qui sait faire bouger les choses. Elle aspire à créer de solides assises qui permettront à des femmes et à des filles réfugiées, ainsi qu’à d’autres groupes désavantagés, de s’instruire.
Avant son arrivée au Canada, Mme Sero a passé une dizaine d’années au camp de réfugiés de Kakuma, dans le nord-ouest du Kenya, avec sa famille. Pour elle, l’éducation est la clé de l’autonomisation et du changement. Lorsqu’elle vivait à Kakuma, elle a enseigné à des filles pendant un an et a mobilisé les parents afin qu’ils envoient leurs filles à l’école. À l’été 2015, elle a participé à une formation sur les droits de la personne donnée sur le terrain, au Mexique, où elle a travaillé auprès de migrants centraméricains traversant le pays dans des trains de marchandises. L’été dernier, elle a effectué un stage de 90 jours au sein d’un organisme de défense des droits de la personne au Ghana. Mme Sero est très active au sein des comités de l’EUMC présents sur les campus de la Wilfrid Laurier University et auprès de la collectivité.
Mme Sero a également reçu un Prix national d’excellence 3M pour étudiants en 2016.
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Abdullah Snobar
Directeur général, DMZ, Ryerson University
Abdullah Snobar
Directeur général, DMZ, Ryerson University
Portes ouvertes, Canada ouvert : Le Canada à l’ère des migrations internationales
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Sous la direction d’Abdullah Snobar, la Digital Media Zone (DMZ) de la Ryerson University a été nommée meilleur incubateur universitaire en Amérique du Nord et troisième meilleur au monde par UBI Global. M. Snobar a pour mandat de faire progresser les grandes priorités de la DMZ : offrir un soutien novateur et personnalisé aux entreprises en démarrage, accroître les occasions de développement des affaires et d’expansion des marchés et favoriser la création de solides partenariats communautaires à l’échelle locale et internationale.
Snobar fait partie de nombreux conseils industriels, communautaires et culturels. Il est le fondateur et responsable du programme international d’apprentissage par l’expérience de la Ryerson University et s’investit également auprès de SupaMaasai, une fondation à but non lucratif du Kenya qui œuvre à améliorer la qualité de vie de la collectivité Maasai, tout particulièrement les femmes et les jeunes.
Snobar est titulaire d’un baccalauréat en commerce de la Ryerson University.
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Imre Szeman
Directeur, Petrocultures East, University of Waterloo
Imre Szeman
Directeur, Petrocultures East, et professeur, Communications et études culturelles, University of Waterloo
10 minutes de réflexion pour 2067
La justice en matière d’énergie
7 février 2017, 9 h 15 – 10 h 45
Imre Szeman est directeur de Petrocultures East, et professeur en communications et études culturelles à la University of Waterloo
Avant son arrivée à Waterloo, M. Szeman était chercheur et professeur titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études culturelles ainsi que codirecteur du Petrocultures Research Group et directeur du projet de recherche collaborative, After Oil: Explorations and Experiments in the Future of Energy, Culture and Society.
Les travaux de M. Szeman portent principalement sur l’énergie et les études environnementales, la philosophie sociale et politique, ainsi que sur la théorie critique et les études culturelles. Il compte parmi ses ouvrages : After Oil (2016), Fueling Culture: 100 Words for Energy and the Environment (2016), et travaille actuellement à la rédaction de Petrocultures: Oil, Politics, Culture (2017) et à la quatrième édition de Popular Culture: A User’s Guide (2017).
Récipiendaire de nombreux prix, M. Szeman a reçu une bourse de recherche Killam en 2013 ainsi que le prix J. Gordin Kaplin de la University of Alberta pour l’excellence en recherche en 2015.
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Robina Thomas
Directrice, Engagement universitaire et communautaire autochtone, University of Victoria
Robina Thomas
Directrice, Engagement universitaire et communautaire autochtone, University of Victoria
Rétablir les relations : Faire progresser la réconciliation à l’université et au-delà
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Qwul’sih’yah’maht (Robina Thomas) est professeure agrégée au département de service social de la University of Victoria. Elle est actuellement directrice du programme Engagement universitaire et communautaire autochtone. Mme Thomas possède une vaste expérience dans le domaine des études autochtones; son mémoire de maîtrise portait sur les pensionnats de Kuper Island, et sa thèse de doctorat, sur les femmes autochtones et le leadership. Ses principaux champs de recherche sont les femmes et les enfants autochtones, les pensionnats, l’art du récit, l’engagement communautaire, ainsi que les pratiques anticoloniales et antiracistes comme mode de vie.
Mme Thomas est membre de la Première Nation de Lyackson.
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Michael Ungar
Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en résilience des enfants, de la famille et de la communauté, Dalhousie University
Michael Ungar
Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en résilience des enfants, de la famille et de la communauté, Dalhousie University
Portes ouvertes, Canada ouvert : Le Canada à l’ère des migrations internationales
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Michael Ungar est le fondateur et directeur du Resilience Research Centre de la Dalhousie University. Il a conçu des projets de recherche longitudinale et d’évaluation en collaboration avec diverses organisations comme la direction du développement humain et de l’éducation de la Banque mondiale, l’OTAN, la Croix-Rouge ainsi que des agences nationales de santé publique.
Les travaux de recherche de M. Ungar sont axés sur la résilience des enfants et des familles déplacés à l’intérieur de leur propre pays, ainsi que des populations de jeunes réfugiés et immigrants. Tout récemment, il a réalisé des études sur la résilience face à l’extrémisme violent dans les communautés désavantagées sur le plan structurel et socialement marginalisées.
Ungar a publié plus de 135 articles évalués par les pairs et chapitres d’ouvrages sur le sujet et est l’auteur de plus de 14 livres à l’intention des professionnels de la santé mentale, des chercheurs et des parents. On peut lire son blogue intitulé Nurturing Resilience sur le site Web de Psychology Today.
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Tanya van Biesen
Directrice générale, Catalyst Canada
Tanya van Biesen
Directrice générale, Catalyst Canada
Abolir les obstacles : Rendre le Canada plus inclusif
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Tanya van Biesen est directrice générale de Catalyst Canada, la plus importante organisation mondiale à but non lucratif qui contribue à l’avancement des femmes par l’intégration en milieu de travail.
Elle représente actuellement la section torontoise de la Women Corporate Directors Foundation, une organisation mondiale regroupant des administratrices de sociétés qui se vouent à favoriser l’adoption de pratiques exemplaires dans la gouvernance d’entreprise.
Conférencière recherchée sur la diversité au sein des conseils d’administration, Mme van Biesen a participé à la rédaction de plusieurs monographies et articles analysant les tendances et les attributs en matière de leadership. Elle est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’École de gestion Rotman de la University of Toronto et d’un baccalauréat en commerce de la Queen’s University, et parle l’anglais, le français et le néerlandais.
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Maayan Ziv
Fondatrice et chef de la direction, AccessNow
Maayan Ziv
Fondatrice et chef de la direction, AccessNow, ambassadrice, Dystrophie musculaire Canada
Éliminer les obstacles pour un Canada inclusif
6 février 2017, 14 h 30 – 16 h
Jeune leader visionnaire, Maayan Ziv est activiste, photographe et entrepreneure. Dès son jeune âge, elle a défié les normes et œuvré au sein de sa collectivité afin d’accroître la sensibilisation aux problèmes auxquels font face les personnes handicapées et d’améliorer l’accessibilité.
Atteinte de dystrophie musculaire, Mme Ziv est une fervente et implacable défenseure de la création d’un monde à l’accessibilité accrue. En 2015, elle a créé AccessNow, une application à production participative servant à répertorier le statut d’accessibilité de divers lieux à l’échelle mondiale. Depuis, elle prend régulièrement la parole dans les médias sur des sujets comme les handicaps et l’inclusion.
En 2016, Mme Ziv a reçu le City of Toronto Access Award, ainsi que le David C. Onley Leadership in Accessibility Award pour ses solutions novatrices et son engagement à améliorer la vie des personnes de tous les niveaux de capacité.
Dans son métier de photographe, elle a travaillé avec des vedettes, des mannequins et d’autres personnes d’influence. Ses photos ont été présentées dans des galeries d’art, dans des magazines et à la télévision.
Mme Ziv siège aux conseils d’administration du Centre for Independent Living in Toronto et du Toronto Arts Council.
Elle est titulaire d’un baccalauréat en arts de la radio et de la télévision et d’une maîtrise en médias numériques de la Ryerson University.
Coanimatrices de l'événement
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Myriam Fehmiu
Animatrice, Montréalité sur Matv
Myriam Fehmiu
Animatrice, Montréalité sur Matv
Coanimatrice de la conférence
Les 6 et 7 février 2017
Journaliste et chroniqueuse à Télé-Québec, ICI Radio-Canada télé et ICI Musique, Myriam Fehmiu anime le magazine citoyen Montréalité sur MAtv depuis septembre 2016.
On l’entend régulièrement à la première chaîne de Radio-Canada et à ICI Musique. Mme Fehmiu est aussi reporter à l’émission Ça vaut le coût à Télé-Québec.
Elle a animé la matinale radio de Radio-Canada en Colombie-Britannique, fait partie de l’équipe des collaborateurs de la série documentaire 21 jours à TV5 et du magazine Par ici l’été à ICI Radio-Canada télé. On l’a vue sur le plateau de 300 millions de critiques sur TV5 Monde.
Titulaire d’un baccalauréat en lettres et communication et d’un certificat en journalisme de l’Université de Montréal, elle a occupé plusieurs postes dans le domaine de l’aide internationale avant de faire du journalisme.
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Shelagh Rogers
Chancelière, University of Victoria
Shelagh Rogers
Chancelière,University of Victoria
Animatrice et productrice, The Next Chapter, radio de la CBCCoanimatrice de la conférence
Les 6 et 7 février 2017
Journaliste et animatrice chevronnée, Shelagh Rogers est actuellement animatrice et productrice de The Next Chapter, une émission de radio de la CBC consacrée à la littérature canadienne. Elle s’est installée en Colombie-Britannique en 2003 après avoir collaboré pendant 23 ans à des émissions culturelles et d’actualités de la CBC.
En 2011, Mme Rogers s’est vu décerner le titre d’officier de l’Ordre du Canada pour son rôle dans la promotion de la culture canadienne et pour son bénévolat dans les domaines de la santé mentale et de l’alphabétisation des adultes. Elle s’est engagée à travailler à la réconciliation entre les peuples autochtones et non autochtones dans l’ensemble du pays, et en juin 2011elle est devenue témoin honoraire pour la Commission de vérité et réconciliation.
Mme Rogers est titulaire de doctorats honorifiques de la University of Western Ontario, de la Mount Allison University, de la Memorial University, de la Nipissing University et de la Vancouver Island University. Elle a reçu en 2014 le Prix humanitaire des anciens de la Queen’s University.
Le 1er janvier 2015, Mme Rogers est devenue la 11e chancelière de la University of Victoria.
Universités Canada présente
The PepTides
Un spectacle du groupe musical d’Ottawa, The PepTides, formé de neuf musiciens, qui se distingue par le son extraordinaire de sa musique pop avec influences funk, disco et électronique.
Le 6 février 2017, 18 h 30 – 21 h 30
Faits saillants sur le programme
Le 6 février 2017
Allocution d’ouverture
Discussion sur les possibilités à saisir et les obstacles à surmonter pour le Canada ainsi que de ce qu’il faudra pour être un chef de file au XXIe siècle
La route vers 2067 – table ronde
Comment bâtir un avenir axé sur la découverte et l’innovation, la réconciliation avec les peuples autochtones, la prospérité et l’inclusion?
Les 50 prochaines années
Période de questions en compagnie d’un invité spécial
Notre jeunesse a le talent, l’énergie et les idées qu’il faut pour façonner le Canada novateur, prospère et inclusif de demain. Les jeunes délégués présents à Carrefour 2017 feront part de leurs questions et de leurs idées sur l’avenir du Canada.
Déjeuner-conférence
D’ici 2067, quels sont les possibilités, les obstacles et les voies qui vont mener à la réconciliation de nation à nation, et comment l’autonomie des jeunes Autochtones peut-elle être renforcée?
Pluralisme, équité et intégration : Le rôle des universités – Séances simultanées
Portes ouvertes, Canada ouvert : Le Canada à l’ère des migrations internationales
Compte tenu de l’incertitude croissante sur le plan géopolitique, les migrations de masse et l’accueil des réfugiés demeurent des questions délicates. Comment aider les nouveaux Canadiens à réussir en tant que membres à part entière d’une société canadienne ouverte, pluraliste et inclusive?
Rétablir les relations : Faire progresser la réconciliation à l’université et au-delà
En 2015, la Commission de vérité et réconciliation a lancé 94 appels à l’action pour remédier aux séquelles laissées par les pensionnats autochtones et faire progresser la réconciliation entre les peuples autochtones et non autochtones du Canada. Que peut faire le milieu universitaire pour susciter un changement en profondeur?
Abolir les obstacles : Rendre le Canada plus inclusif
À la lumière de leurs points de vue personnels et professionnels, les conférenciers réfléchiront à ce qu’il faut faire pour bâtir un Canada équitable et inclusif.
Le pouvoir de l’art : Renforcer et célébrer le pluralisme par l’art
L’art sous toutes ses formes nous permet d’exprimer et de célébrer l’identité. En quoi les arts contribuent-ils au renforcement et à la promotion de la diversité au sein de la société canadienne?
Le 7 février 2017
10 minutes de réflexion pour 2067
Des leaders d’opinion issus de diverses disciplines discutent brièvement de la manière de bâtir un meilleur avenir en relevant les grands défis du XXIe siècle.
Exercice des couvertures
L’Exercice des couvertures de KAIROS (KAIROS Blanket Exercise) est un outil d’enseignement expérimental qui aide les Canadiens autochtones et non autochtones à découvrir et à comprendre leur histoire commune. Les participants sont plongés dans divers contextes dont la période antérieure à l’arrivée des Européens, la signature de traités, la colonisation et la résistance.
Faisant appel aussi bien aux plans affectif qu’intellectuel, l’Exercice des couvertures informe les participants sur les droits des Autochtones canadiens et sur leur histoire, tout en renforçantleur empathie envers eux et en favorisant la réconciliation par l’éducation, partout au pays.
Mobiliser la génération de 2017
Comment le Canada peut-il former la prochaine génération d’innovateurs, d’entrepreneurs et de dirigeants communautaires afin de réaliser le potentiel du pays en 2067?
Un appel à l’action pour le Canada
Allocution de clôture
De l’esprit de l’avenir.
[Canada 150 logo]
[Text on screen:]
Converge 2017
Bright Minds. Bright Future.
Carrefour 2017
De l’esprit de l’avenir.
What kind of Canada do we want in the next 50 years?
Quel avenir souhaitons-nous pour le Canada d’ici 50 ans?
February 6-7, 2017
6 et 7 février 2017
Ottawa
Future innovators, creators, entrepreneurs and community leaders
De futurs innovateurs, créateurs, entrepreneurs et dirigeants communautaires
will join university and thought leaders from across the country
se joindront aux universités et à des leaders d’opinion de l’ensemble du pays
to share ideas on building an innovative, prosperous and inclusive Canada.
afin d’échanger sur la manière de bâtir un Canada novateur, prospère et inclusif.
How can we strengthen our pluralism?
Comment renforcer notre pluralisme?
How do we advance reconciliation?
Comment faire progresser la réconciliation?
How do we grow as a nation of innovators?
Comment devenir une nation d’innovateurs?
[Image of the Peace Tower of Canadian Parliament]
[Image de la tour de paix du Parlement canadien]
February 6-7, 2017
6 et 7 février 2017
Ottawa
#Converge2017
#Carrefour2017
univcan.ca @univcan
[Universities Canada logo/Logo d’Universités Canada]