La rentrée
Les Canadiens de tous les âges et à tous les stades de carrière reconnaissent qu’un cours universitaire ou un programme menant à un certificat ou à un diplôme – qu’il dure quatre semaines, quatre mois ou quatre années – élargit leurs perspectives de carrière, accroît leur compétitivité et améliore leur vie familiale.
Voyons voir qui retourne à l'université
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Brandon Craig
University of Calgary
Brandon Craig
University of Calgary
Après avoir subi plusieurs traumatismes crâniens, cet ancien joueur de hockey a accroché ses patins et a quitté son emploi administratif avec les Edmonton Oilers afin de poursuivre des études en médecine axée sur les soins à long terme et la gestion des traumatismes crâniens.
« J’étais motivé à poursuivre une carrière qui me permettrait d’apprendre toute ma vie. Comme étudiant en médecine et chercheur au doctorat, je peux combiner mes passions et aider les populations en milieu clinique tout en trouvant des manières novatrices d’améliorer les pratiques médicales. L’université me donne un tremplin qui me permet de me réaliser comme chercheur, clinicien et personne, et d’apprendre la multitude de complexités qui définissent le corps humain. »
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Lacey Gamblin
University of Winnipeg
Lacey Gamblin
University of Winnipeg
Mère monoparentale de trois enfants et petite-fille d’une victime des pensionnats autochtones, Lacey veut bâtir un bel avenir pour ses enfants et sa collectivité. Le programme qu’elle suit en études urbaines et des centres-villes l’aidera à lutter contre la pauvreté et les problèmes de chômage chez les jeunes Autochtones.
« Il était vital pour moi comme Autochtone et mère monoparentale de trois filles, de retourner à l’école : je voulais montrer à mes filles qu’il n’est jamais trop tard pour réaliser ses rêves, et j’en avais assez de vivre dans la pauvreté et de pouvoir à peine joindre les deux bouts. L’université m’apporte un sentiment d’appartenance et un moyen de participer à un changement social positif au centre-ville de Winnipeg. Il m’a fallu beaucoup de courage pour franchir les portes de la University of Winnipeg et croire que je pourrais y arriver, mais j’avais l’appui de ma famille sans qui je n’aurais jamais pu retourner à l’école. »
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Betsy Thomas
Université Concordia
Betsy Thomas
Université Concordia
À 62 ans, Betsy, apprenante à vie qui a eu une entreprise florissante pendant 30 ans, retourne sur les bancs d’école pour poursuivre une nouvelle carrière.
« Je suis devenue consultante pour mettre à profit l’expérience que j’ai acquise en affaires pendant toutes ces années, et pour aider les organisations à réaliser une de mes passions : créer des espaces de travail centrés sur les gens. Afin d’exécuter mon travail avec intégrité et crédibilité, je suis retournée à l’université pour apprendre les grands principes et perfectionner mes compétences. »
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Younes Boukala
Université du Québec à Montréal
Younes Boukala
Université du Québec à Montréal
Âgé de 22 ans, le plus jeune conseiller d’arrondissement de Montréal a décidé de retourner à l’université pour terminer son baccalauréat en science politique afin d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour réussir en tant qu’élu.
« Continuer mes études en sciences politiques était important pour moi, car je voulais terminer ce que j’avais commencé. De plus, ça me rappelle que l’on apprend tous les jours! Dans mon rôle de conseiller d’arrondissement, je peux appliquer des éléments vus en classe. Je peux vulgariser le fonctionnement de la politique auprès de mes citoyens. »
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Andrea Vega
Mount Royal University
Andrea Vega
Mount Royal University
En raison des nouvelles technologies et de l’économie de l’Alberta en pleine transformation, Andrea a constaté que le domaine de la cybersécurité avait besoin de travailleurs qualifiés. Elle a donc quitté son emploi dans le secteur immobilier pour se diriger vers un nouveau parcours professionnel.
« Je voulais une carrière d’avenir pour me trouver une nouvelle raison d’être. Grâce aux technologies, j’envisage une carrière enrichissante, lucrative et recherchée qui me permettra de relever des défis et de faire appel à ma créativité pour innover en vue d’un meilleur avenir pour le monde. »
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Josh Swain
University of Winnipeg
Josh Swain
University of Winnipeg
Fier étudiant métis, Josh a abandonné une carrière prospère dans le domaine des finances pour poursuivre des études en vue de devenir assistant médical et de redonner à sa communauté.
« Retourner à l’université était capital pour moi, car ma première carrière ne correspondait pas à mes aspirations. Je ne voulais pas m’enliser dans un métier qui n’est pas vraiment fait pour moi, et le diplôme universitaire représentait la seule manière d’accéder à ma profession de rêve. Ma formation universitaire m’a donné confiance en moi et m’a ouvert les portes d’incroyables possibilités. »
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Eric Evans
Vancouver Island University
Eric Evans
Vancouver Island University
Après avoir grandi en familles d’accueil et surmonté d’importantes difficultés dans la vie – difficultés d’apprentissage, dépendances et mauvais traitement – Eric est bien déterminé à poursuivre son parcours d’apprentissage à l’université et à devenir une source d’inspiration pour les autres.
« Je n’avais jamais pensé obtenir un jour mon diplôme d’études secondaires; l’éducation ne faisait pas partie de mes priorités. Pourtant, tous mes professeurs à la VIU disaient qu’ils me voyaient progresser et j’y ai cru. Au départ, j’hésitais à retourner à l’école, mais ils m’ont donné la confiance nécessaire pour pouvoir le faire. »
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Tracie Léost
University of Regina
Tracie Léost
University of Regina
Pour Tracie, aller à l’université représente une manière d’éliminer les obstacles et de défendre la cause des peuples autochtones au Canada. Comme activiste, l’étudiante a déjà recueilli des milliers de dollars pour tenter de résoudre le problème des femmes autochtones disparues et assassinées.
« Je crois que l’éducation est le fondement qui met en place le cadre nécessaire à tout ce qui s’ensuivra. Les peuples autochtones n’étaient pas censés survivre au génocide. Ils n’étaient pas censés fréquenter les établissements d’enseignement supérieur. C’est donc très important pour nous de franchir ces obstacles et d’occuper la place qui nous revient. L’éducation, ça compte; l’éducation permet de vaincre les obstacles et de faire place au changement. »
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Aline Chito
Université Sainte-Anne
Aline Chito
Université Sainte-Anne
D’origine congolaise, Aline a fui la guerre dans son pays pour se réfugier en Ouganda avant d’immigrer à Halifax sept ans plus tard. Depuis son arrivée au Canada, elle a obtenu son diplôme de formation générale des adultes et étudie désormais l’administration des affaires à l’Université Sainte-Anne afin d’apporter une contribution utile à sa collectivité.
« Que ton échec , ton blocage ou ta limitation d’hier ne te stoppe pas en chemin pour réaliser ton rêve de demain. »
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Natalia Ramirez Ostos
Carleton University
Natalia Ramirez Ostos
Carleton University
Retourner à l’école a été une décision importante pour Natalia, mais après avoir entendu parler d’un programme qui offrait une expérience de travail concrète auprès d’une importante entreprise canadienne de commerce électronique, elle était impatiente de commencer.
« La technologie évolue rapidement et l’apprentissage continu est primordial pour la croissance professionnelle. Retourner à l’université était essentiel pour acquérir les compétences, et le programme Dev Degree de Shopify m’a permis d’avoir une expérience de travail concrète auprès des plus grands de l’industrie, et de bénéficier d’un avantage concurrentiel. »
Photo – Carleton University