Les sciences humaines au service du génie

10 avril 2017
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Transcription

Texte sur l’écran : [Les sciences sociales au service du génie]

Gilles Patry, président-directeur général, Fondation canadienne pour l’innovation :

Dans la formation d’un ingénieur il devrait y avoir un prérequis qui serait une formation en sciences humaines et en sciences sociales dans les humanités par exemple de façon à élargir les horizons de ces étudiants-là avant même qu’ils s’intéressent au génie.

Donc c’est un concept qui peut paraitre peut-être révolutionnaire mais c’est un concept qui existait déjà dans les années soixante alors que plusieurs ingénieurs, surtout au Québec, faisaient le choix d’aller dans les collèges classiques pour obtenir une formation générale d’abord.

Cela a eu le résultat de créer des ingénieurs tout à fait extraordinaires comme Bernard Lamarre, Guy St. Pierre qui ont établi des firmes d’ingénieurs conseil qui ont eu une réputation internationale en grande partie à cause je pense de leur compréhension non seulement des choses, des technologies mais aussi de l’impact que ces technologies-là avaient sur la société.

Texte sur l’écran : [Logo bilingue d’Universités Canada. The Voice of Canada’s Universities. univcan.ca]

Gilles Patry, p.-d.g. de la Fondation canadienne pour l’innovation, discute de l’avantage des études pluridisciplinaires en sciences humaines et en génie ainsi que du succès international des grands ingénieurs québécois des années 1960 qui avaient fréquenté les collèges classiques avant de poursuivre leurs études en génie.

Catégorie :  Recherche et innovation

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