Objectif carboneutralité
Les universités canadiennes sont depuis longtemps des chefs de file du développement durable : elles réduisent leurs émissions de carbone, effectuent des travaux de recherche sur le climat, permettent aux étudiantes et étudiants d’acquérir des compétences vertes et établissent des partenariats avec leurs collectivités pour résoudre les problèmes causés par les changements climatiques.
Dans le cadre de l’Objectif carboneutralité des universités canadiennes, l’association collabore avec ses membres pour suivre et mesurer leurs progrès en matière d’action climatique, offre un espace favorisant l’échange de pratiques exemplaires, réclame du soutien essentiel pour atteindre les cibles du secteur et continuer de lutter contre les changements climatiques de manière générale, et coopère avec des parties prenantes aux échelles locale, nationale et internationale afin d’harmoniser les efforts et accroître les retombées du milieu.
Les chiffres
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+ de 75 %des membres ont défini des stratégies
Plus de 75 % des établissements membres d’Universités Canada ont adopté des stratégies de développement durable.
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+ de 250programmes d’études
Plus de 250 programmes d’études et de certification en développement durable sont offerts dans des universités de partout au Canada.
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+ de 2 000chercheuses et chercheurs
Plus de 2 000 chercheuses et chercheurs mènent des travaux de recherche sur le climat dans des universités de partout au pays.
Ce que font les universités
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Empreinte carbone
Les universités travaillent à réduire leur empreinte carbone.
Découvrez ce que font les établissements membres.
Empreinte carbone
Memorial University of Newfoundland
Memorial University a lancé, avec l’appui financier des gouvernements provincial et fédéral, un projet de réduction de l’empreinte carbone et des gaz à effet de serre émis par l’établissement pour réduire son impact environnemental. L’établissement remplacera ses chaudières à vapeur alimentées au mazout par des modèles électriques. Le système de chauffage des bâtiments sera converti, pour abandonner le mazout comme source d’alimentation principale au profit de l’hydroélectricité (en se branchant au réseau provincial d’énergie renouvelable). On obtiendra ainsi une réduction de 80 à 85 % en carburant, en plus d’une réduction des émissions de près de 30 000 tonnes. L’initiative permettra à l’établissement de mieux prévoir ses futurs coûts en énergie et de se pencher sur les avantages environnementaux des sources d’énergie vertes.Source (en anglais seulement)
Saint Mary’s University
L’atrium de Saint Mary’s University a été conçu dans une optique écologique : le bâtiment se conforme à de hautes exigences LEED et son mur végétal emblématique de trois étages – le premier en son genre dans les provinces de l’Atlantique – filtre l’air naturellement. Son toit vert équilibre la température du bâtiment, retenant la chaleur l’hiver, et favorisant la fraîcheur l’été. Cette technique émergente permet de réduire la consommation d’énergie, de créer un environnement naturel dans un espace sinon vacant et d’alimenter les recherches de l’équipe de l’établissement, qui peut évaluer le rendement de la structure et étudier la conception de toits végétalisés et l’optimisation des cultures comme biocarburant.Source (en anglais seulement)
Toronto Metropolitan University
Afin de calculer et de réduire son empreinte carbone, Toronto Metropolitan University a fait le bilan de ses émissions de gaz à effet de serre; elle surveille aussi ses émissions de la portée 1, 2 et 3 sur le campus. Elle a créé un groupe de travail sur le climat et l’énergie qui rassemble des membres de la population étudiante et du corps professoral pour établir des cibles collectives de réduction des gaz à effet de serre et pour formuler des recommandations afin de permettre à l’établissement de les atteindre. Elle a aussi adhéré à l’initiative Green Will de la Ville de Toronto, qui incite les propriétaires d’immeubles à accélérer leur réduction d’émissions de gaz à effet de serre pour une municipalité carboneutre. L’établissement collabore aussi avec la Ville pour élaborer un plan vers la carboneutralité.Source (en anglais seulement)
Université Concordia
Le Bureau du développement durable de l’Université Concordia, en collaboration avec les personnes chargées de la coordination des volets et les parties prenantes, a élaboré un tableau de bord public virtuel, qui présente un aperçu des progrès annuels de l’Université dans cinq secteurs prioritaires : systèmes alimentaires durables, zéro déchet, action climatique, durabilité en recherche et durabilité en matière de programmes d’études. Ce tableau de bord sert également de système interne pour le suivi des cibles et des principaux indicateurs de rendement établis dans le Plan d’action en matière de durabilité. Cette démarche permet à l’Université d’accroître la transparence et la responsabilisation, de célébrer les progrès réalisés et de prévoir les aspects à améliorer pour la suite des choses.Université de Sherbrooke
En 2023, l’Université de Sherbrooke s’est classée au premier rang du programme international STARS, qui évalue la contribution au développement durable des établissements d’enseignement supérieur. Avec sa note globale de 92,73 points, l’Université de Sherbrooke est la première au monde à dépasser la marque de 90 points, grâce à sa carboneutralité atteinte en juin 2022 et à ses projets de préservation de la biodiversité, l’implication de la population l’étudiante, l’approvisionnement et l’investissement responsable.University of Toronto
University of Toronto compense les émissions des voyages par avion qu’elle finance en investissant dans ses projets de développement durable. L’achat de crédits carbone proportionnels à la distance de vol est maintenant obligatoire pour les voyages financés par l’établissement. Toutefois, plutôt que de verser les sommes à un tiers, l’Université les réinvestit dans des projets qui réduisent les émissions sur le campus et qui appuient le développement durable.Source (en anglais seulement)
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Recherche
Les universités mènent des travaux de recherche visant à comprendre et à atténuer les effets des changements climatiques.
Découvrez ce que font les établissements membres.
Recherche
Athabasca University
Dans sa nouvelle série vidéo Research with Reach, Athabasca University montre comment ses équipes de recherche et son effectif étudiant aux cycles supérieurs changent des vies en contribuant au développement des connaissances et à la création de solutions pour l’émergence de communautés durables. La série aborde des thèmes variés comme la mise sur pied d’entreprises durables, la constitution de collectivités durables et la protection des ressources alimentaires, de l’eau et des écosystèmes par le biais de la recherche et de la technologie.Source (en anglais seulement)
Dalhousie University
Dalhousie University est reconnue mondialement pour ses travaux multidisciplinaires en océanographie à l’échelle de sa région et au-delà, contribuant à l’économie bleue de la Nouvelle-Écosse et à la durabilité océanique mondiale. Elle accueille le laboratoire Aquatron – la plus grande installation universitaire de recherche aquatique au pays –, ainsi que le Ocean Tracking Network, un circuit de plus de 2 000 stations de localisation acoustique qui suivent les déplacements de plus de 300 espèces aquatiques précieuses économiquement et culturellement, dans un contexte de transformation des environnements d’eau douce et des océans.Source (en anglais seulement)
OCAD University
L’OCAD University a établi un centre de recherche, le Global Centre for Climate Action (GCCA), pour étudier de nouvelles approches du développement durable, de la justice climatique et de la décolonisation en misant sur la créativité, l’écoconception et la pratique artistique. Le centre de recherche appuie les artistes, les designers et les universitaires de la collectivité qui s’intéressent aux initiatives climatiques, en plus de constituer un réseau mondial axé sur la justice climatique créative. Par la collaboration avec des communautés autochtones et marginalisées, il vise à favoriser les relations régénératives entre les peuples, la terre et le savoir autochtone sur la durabilité. Le centre adopte une perspective décolonialiste pour tenter de comprendre les cadres de justice sociale qui mettent de l’avant les origines des crises environnementales et leurs conséquences sur les communautés marginalisées. Le GCCA travaille actuellement sur trois expositions qui auront lieu au printemps, à l’été et à l’automne 2024 et qui mettront à l’honneur les pratiques artistiques, de design et de recherche intergénérationnelles et interdisciplinaires axées sur l’action climatique.
Source (en anglais seulement)
Queen’s University
En collaboration avec la Ville de Kingston et différents partenaires de l’industrie, une équipe de recherche de Queen’s University a lancé un projet de réduction de l’empreinte environnementale du béton – actuellement l’un des plus grands responsables des émissions planétaires de dioxyde de carbone. Grâce au soutien de la Ville, les travaux de recherche quitteront les laboratoires de génie civil de l’établissement pour se déployer sur le terrain : on construira une structure à faible impact environnemental au Centre de formation en services d’incendie et de sauvetage de Kingston. À terme, l’installation servira de laboratoire vivant pour enseigner les caractéristiques des structures à faible émission de carbone à la population étudiante.Source (en anglais seulement)
Université Concordia
L’Institut des villes nouvelle génération de l’Université Concordia est un accélérateur de décarbonation des bâtiments. Il offre aux promoteurs immobiliers les outils et ressources nécessaires pour accroître la contribution du secteur au développement durable. En mettant à profit l’expertise multidisciplinaire de ses membres, l’accélérateur vise à multiplier les projets de construction et de rénovation à faibles émissions et à l’épreuve des changements climatiques dans les quartiers commerciaux et résidentiels de Montréal. L’accélérateur sert aussi de vitrine pour les activités de recherche de l’établissement, mettant en lien sa population étudiante innovatrice avec les promoteurs.Université du Québec
L’Université du Québec a lancé, à l’automne 2021, la Grande initiative réseau – Forêt (GIR Forêt) qui encourage et facilite les collaborations dans le domaine des sciences de la forêt en mettant en commun les expertises et les ressources des 10 établissements de son réseau. Par l’entremise de cette initiative, elle contribue à l’aménagement durable des forêts par le développement des connaissances et des solutions innovantes pour atténuer les effets des changements climatiques. Le GIR Forêt regroupe plus de 90 chercheuses et chercheurs et 500 étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs et publient plus de 200 articles scientifiques publiés par année.Université du Québec à Montréal, Université de Laval and the University of Waterloo
Des équipes de recherche en mathématiques de l’UQAM, de l’Université Laval et de University of Waterloo s’associent au Bureau d’assurance du Canada pour examiner combien coûteront les inondations à l’avenir et comment les politiques publiques peuvent contribuer à la résilience du Canada face aux changements climatiques. Les résultats orienteront la création d’un programme national d’assurance contre les inondations.Université du Québec à Trois Rivières (UQTR)
L’Institut de recherche sur l’hydrogène de l’Université du Québec à Trois-Rivières étudie les techniques favorisant le stockage, la production et l’usage de l’hydrogène. L’UQTR participe à la création de chaînes et de carrefours d’approvisionnement en hydrogène au Canada pour réduire les émissions causées par le transport, notamment par camion et par bateau. La création de ces infrastructures stimulera l’économie et créera des emplois, tout en réduisant la pollution et en créant des indicateurs d’adaptation climatique.Source (en anglais seulement)
University of Guelph
Un groupe de chercheurs de l’Université de Guelph installe des stations météorologiques temporaires à la lisière d’une section de forêt des Rocheuses pour mieux prédire les interactions entre les régions forestières et non forestières sous l’effet des changements climatiques. Leur démarche approfondira les connaissances en la matière et permettra de mieux anticiper les effets des changements climatiques à l’échelle du pays. Les données recueillies seront comparées à celles des stations d’Environnement Canada à proximité, pour évaluer les écarts sur de longues distances. Parcs Canada s’appuiera aussi sur les données recueillies pour mieux prédire les répercussions des changements climatiques sur la répartition des espèces, comme le veut son mandat de préservation du patrimoine naturel du Canada.Source (en anglais seulement)
University of Victoria
Une équipe d’ingénieures et d’ingénieurs de la University of Victoria élabore le tout premier microréseau d’énergie renouvelable en son genre, qui intègre un dispositif utilisant l’énergie des vagues, pour une localité côtière éloignée sur l’île Nootka, lieu historique national et territoire traditionnel de la Première Nation de Mowachaht/Muchalaht. Ce projet révolutionnaire vise à aider la Nation à réaliser son rêve de longue date : réoccuper Yuquot après en avoir été chassée il y a des décennies. Le projet est mené par la collectivité, car la Nation a à cœur de trouver des solutions d’énergie propre qui améliorent la qualité de vie, facilitent le développement économique et favorisent l’autodétermination.Source (en anglais seulement)
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Enseignement et apprentissage
Les universités transmettent aux étudiantes et étudiants les compétences nécessaires pour réussir dans une économie verte.
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Enseignement et apprentissage
Carleton University
À Carleton University, des membres du corps professoral s’intéressent au développement durable dans leurs cours, programmes et projets de recherche, s’attachant à faire le nécessaire pour que la population étudiante dispose des connaissances requises pour devenir des citoyennes et citoyens du monde pour qui le développement durable n’a pas de secret. L’établissement a mis sur pied un plan d’action stratégique pour l’évaluation des activités du curriculum portant sur le sujet et pour que ses programmes soient conformes à l’objectif de développement durable 4 (éducation de qualité).Source (en anglais seulement)
Emily Carr University of Art + Design
Emily Carr University of Art + Design, les initiatives étudiantes et communautaires pour l’environnement et le développement durable ne datent pas d’hier. Il y a eu notamment la campagne étudiante Hey You! Let’s Talk About Waste, où des zines ont été distribuées pour stimuler la réflexion quant aux conséquences des habitudes du quotidien sur l’environnement. En 2020, dans le cadre du cours d’été Nature Speaking, une cohorte a réalisé une série de balados sur la résilience locale pendant la pandémie. Quant à lui, le projet Border Free Bees, vise à sensibiliser la population aux difficultés des pollinisateurs et à lui donner les moyens de participer aux solutions pour contrer la perte d’habitats, en plus de transformer des zones urbaines délaissées en jardins nourriciers pour les pollinisateurs, à la fois beaux et viables scientifiquement.Source (en anglais seulement)
First Nations University of Canada
First Nations University of Canada offre des programmes et des cours de premier cycle en sciences environnementales autochtones, y compris un certificat en gestion environnementale autochtone. Ces cours allient la science classique aux enseignements des Aînées et Aînés et des autres gardiens du savoir autochtones pour aider les étudiantes et étudiants à mieux comprendre la science autochtone, l’apprentissage par l’expérience et les traditions orales. Offerts en collaboration avec la University of Regina et la Saskatchewan Polytechnic, ces programmes sont destinés aux étudiantes et étudiants autochtones ou allochtones qui veulent approfondir leurs connaissances sur les sciences environnementales autochtones.Source (en anglais seulement)
The King’s University College
King’s University College a ajouté des cours en environnement et en développement durable dans huit de ses départements, notamment ceux de géographie, d’économie et de sociologie. Cette initiative vise à assurer la protection et la conservation de la planète et du campus de même qu’à enrichir les connaissances environnementales de sa population étudiante dans le cadre d’un programme complet d’enseignement et de formation.Source (en anglais seulement)
Université de Montréal
Un programme d’études supérieures spécialisé en environnement et en développement durable est offert à l’Université de Montréal aux étudiants qui ont un intérêt marqué pour l’éducation durable. Ce programme a été intégré avec succès au cours des deux dernières années. De plus, le programme prépare les étudiants diplômés à intégrer les études sur le développement durable dans leur enseignement et leur recherche. L’Université de Montréal s’efforce d’encourager l’inclusion de thèmes liés à la durabilité, d’alimenter l’expérience des étudiants dans l’étude des défis et des opportunités du passé, et de faire de leur recherche et de leur enseignement un pôle d’attraction pour la durabilité.Université McGill
L’Université McGill a créé un nouveau module pour former sa population étudiante sur le développement durable. Le module d’autoformation, intitulé Creating a Brighter Future: Sustainability at McGill, présente la notion de développement durable et fournit des ressources et de l’information sur les façons de s’impliquer sur le campus. Le module a été conçu en collaboration avec des étudiantes et étudiants, qui ont pu faire part de leurs commentaires. Étant donné les cours préalables souvent exigés dans les programmes universitaires, ce type de formation en ligne peut aider à diversifier le contenu pédagogique accessible à l’ensemble de la population étudiante.Source (en anglais seulement)
University of New Brunswick
University of New Brunswick est la première au Canada à exiger des cours sur les changements climatiques dans ses programmes d’art. Un cours de première année offert à titre de projet pilote aborde des thèmes comme les traités internationaux, la représentation des changements climatiques dans les médias et les crises humanitaires. Ce cours est obligatoire pour l’ensemble des cohortes de première année qui étudient l’art à Fredericton.Source (en anglais seulement)
University of Prince Edward Island
University of Prince Edward Island, l’apprentissage par l’expérience fait partie intégrante du programme d’études environnementales depuis 2011. Par exemple, un stage est prévu à la troisième année du baccalauréat en études environnementales. Ce stage non rémunéré de 30 heures invite les étudiantes et étudiants à apprendre par la pratique auprès de partenaires communautaires, comme les administrations fédérales, provinciales et municipales, les organisations non gouvernementales locales et le secteur privé. Il leur permet d’acquérir une meilleure compréhension du travail dans le domaine environnemental et leur sert, dans certains cas, de tremplin vers un emploi d’été ou une future carrière.Source (en anglais seulement)
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Partenariats
Les universités établissent des partenariats aux échelles locale, nationale et internationale pour lutter contre les changements climatiques.
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Partenariats
Simon Fraser University
L’équipe Action on Climate de Simon Fraser University agit comme une plaque tournante innovante en matière de projets de recherche appliquée sur les changements climatiques et les solutions durables. Entre 2018 et 2021, elle a collaboré avec dix villes dans le cadre de son initiative de recherche Integrated Climate Action for B.C. Communities, qui consistait à faire mettre à l’essai par les municipalités une approche d’urbanisme équitable axée sur la résilience et les faibles émissions de carbone. L’équipe a aidé les municipalités à adopter des décisions et des stratégies qui réduisent le risque climatique et les émissions en plus d’améliorer la durabilité. Est né de la démarche un guide officialisant l’approche, maintenant reconnu comme un exemple à suivre en urbanisme et adopté par des établissements d’enseignement supérieur partout en Amérique du Nord.Source (en anglais seulement)
University of Calgary
Le Centre de transition énergétique de University of Calgary est le fruit d’un partenariat entre l’établissement, Innovate Calgary et Avatar Innovations. Le Centre est axé sur la collaboration et l’intégration entre le monde universitaire et le milieu commercial, dans l’objectif d’accélérer le développement des technologies énergétiques et de stimuler, d’améliorer et d’orienter les technologies de transition énergétique émergentes afin de démarrer des entreprises rentables. Cette approche transformationnelle donne lieu non seulement à de nouvelles solutions énergétiques, mais aussi à de nouvelles entreprises et à une diversification de l’économie.Source (en anglais seulement)
Wilfrid Laurier University
Wilfrid Laurier University offre aux étudiantes et étudiants la chance d’apprendre sur le terrain en s’impliquant auprès d’organismes communautaires locaux par des activités pédagogiques environnementales au service de la population. Les étudiantes et étudiants créent ainsi des plans d’action énergétiques qui s’appuient sur les sphères de développement durable abordées dans leurs cours d’engagement communautaire, qui comprennent une formation multidisciplinaire en environnement, en psychologie et en action sociale. Dans le même esprit, un cours de méthodologie de recherche aborde les différentes sources d’information sur le développement durable pour les étudiantes et étudiants.
Source (en anglais seulement)
Nouvelles
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Les universités canadiennes innovent pour la planète
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Universités Canada lance une nouvelle initiative pour l’action climatique
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Kristal Ambrose, chercheuse en environnement, initie les jeunes à l’action militante contre la pollution par les plastiques
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Rencontrez les boursiers de la famille Weston 2022